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 NAKAGAWA Akira ou On n'offense pas un admin >:B [Pas fini mais oseeeeeff]

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Akira Nakagawa
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Akira Nakagawa


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MessageSujet: NAKAGAWA Akira ou On n'offense pas un admin >:B [Pas fini mais oseeeeeff]   NAKAGAWA Akira ou On n'offense pas un admin >:B [Pas fini mais oseeeeeff] Icon_minitimeMar 4 Aoû - 11:57

Me ...

    p r e n o m Huhu : )
    a g e ... x3
    a i m e Niehe =p
    a i m e p a s T'es drole, toi :v
    c o m m e n t a v e z - v o u s d e c o u v e r t l e f o r u m e t p o u r q u o i l ' a v e z - v o u s c h o i s i l u i ? J't'en pose, des questions ?

... and Him

    n o m Nakagawa. Un nom de famille banal, pour un jeune homme pas si banal que ça tout compte fait.
    p r e n o m Akira. Ce prenom signifie intelligence. Autant dire qu'il lui va a merveille.
    a g e 15 ans, même si certains lui en donnent beaucoup plus... ou alors beaucoup, selon les cas.
    s e x e Mm, je pense que vous etes assez malin pour deviner tout seul.

    p hy s i q u e Akira est l'archétype du, si j'ose dire, beau brun ténébreux pas très bavard.

    Il est bien bâti, mais sa musculature reste raisonnable, en parfaite harmonie avec sa fraîche anatomie d'éphèbe. Sa silhouette est fine et élancée, son maintien droit, son port fier et altier. On le reconnaîtrait entre mille. Malgré son assez jeune âge, il a vécu pas mal de choses. Il a tâté à peu de choses près à tous les sports. C'est aussi un virtuose en matière de musique, et ses mains aux doigts longs et fins en témoignent. Par ailleurs, il est très souple, mais aussi vif et agile. Ses réflexes sont surprenants, et bien en fasse la population qu'il n'ait pas plus développé ses talents de pickpocket.

    Akirs arbore des cheveux bruns qui, selon les jeux de lumiere, peuvent virer au chatain clair. Sa tignasse relativement longue est impossible à coiffer. Constamment ébouriffée en tous sens, elle lui donne l'air de rentrer d'une course folle et éreintante ou d'avoir dû affronter un sacré coup de vent. Ses cheveux, très fins, sont naturellement balayés sur un côté, que ce soit la gauche ou la droite importe peu puisque cela dépend de ses mouvements. Ils tombent sur son front en des mèches irrégulières mais bien définies.

    Introduisons ce paragraphe par une brève description de son visage. Passablement hâlé, il est très fin, avec des traits réguliers que l'on ne se lasse jamais de contempler. Il fait inconsciemment penser aux magnifiques sculptures grecques avec leur expression figée, mais si belle. Son minois affiche généralement une moue un peu boudeuse, rebelle. Hormis ses yeux dont on parlera plus tard, on peut passer par son petit nez droit, taillé à la perfection, mais aussi par sa bouche. Une bouche fine et bien dessinée. Parfois, elle esquisse un sourire... Ah, et ce sourire, cela vaut le coup de le voir ! Lorsqu'Akira vous offre le plaisir que de voir son sourire, on ne peut s'empêcher de l'admirer, et de sourire nous aussi. Ces dents si blanches, ce sourire si profond, si emportant, comme s'il se moquait de nous. Comme s'il percevait quelque chose qu'il nous est impossible de connaître, qui nous échappe. Un sourire... Un simple sourire. Mais si simple puisse-t-il être, il rend heureux. Il est attendrissant et si rare. Rayonnant ou pincé, mystique et harmonieux, il embellit tout ce qui l'entoure et donne à notre jeune homme un certain air d'elfe mélancolique. Comment décrire autrement cette expression angélique qui fait se pâmer nombre de jeunes filles ? Chacun de ces boutons de rose rêvent de connaître le merveilleux contact de ces lèvres légèrement charnues. A ses risques et périls, rajouterons-nous en simple aparté.

    Mais il n'y a pas que son sourire qui est si extraordinaire. Il y aussi son regard. Si un regard pouvait vous émerveiller, ce serait le sien. C'est un regard rare, extrêmement rare, s'il n'est pas unique au monde. Qu'il soit pétillant de malice ou brûlant de rage, il demeure doux et envoûtant. Plus de précisions ? Eh bien... Tout d'abord, les yeux d'Akira, joliment dessinés en amande, sont d'un beau brun grisé qui peut virer au gris clair, ce qui fait parfois se demander a certains s'il n'est pas aveugle. Ces deux prunelles luisant d'un éclat plein de mystère sont comme deux grands lacs de givre dans lesquels on se perd, on s'éloigne de la réalité, et on se noie. Il n'est pas sans risque de plonger dans ce regard, car ce n'est pas n'importe quel regard, il est magnifique et pourtant si irréel... Pour certains, le regard est le miroir de l'âme, mais celui d'Akira ne reflète presque rien, sauf peut-etre une sorte de ... tristesse. Ou de lassitude. Il est insondable. Ses yeux sont ombragés par de longs cils élégants un peu efféminés souvent comparés à ceux d'une biche. Mais si Akira dégage autant de candeur que ce tendre et fragile animal, cela ne signifie pas que son âme est aussi pure.

    Akira peut porter de tout : ample comme serré, blanc comme noir. Mais il préfère tout de même les vêtements plutot pres du corps. En général, c'est une veste ou une chemise a manches courtes qu'il arbore aux yeux de tous. Il porte divers accessoires à ses oreilles, en général des anneaux ou des piercings, le tout en argent. A ses poignets fins, parfois quelques babioles comme des bracelets brésiliens, ou des bandages.

    c a r a c t e r e
    a i m e
    d e t e s t e

    h i s t o i r e Plus taaaard.

    c o d e s tongue


Dernière édition par Akira Nakagawa le Mer 5 Aoû - 10:36, édité 1 fois
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MessageSujet: Re: NAKAGAWA Akira ou On n'offense pas un admin >:B [Pas fini mais oseeeeeff]   NAKAGAWA Akira ou On n'offense pas un admin >:B [Pas fini mais oseeeeeff] Icon_minitimeMar 4 Aoû - 12:29

      « Je t'aime. »

    Deux mots. Deux mots sacrés, réservés à l'être aimé. Deux mots prononcés avec la plus grande sincérité du monde. Le cœur de la jeune fille battait à cent à l’heure, à lui en rompre la poitrine. Autour d'elle, le temps s’était figé. Comme dans les livres à l’eau de rose qui remplissaient les étagères de sa bibliothèque, où le moment fatal résonnait encore dans l’esprit longtemps après la fin. Où la scène se passait au ralenti, et que le cœur battant à tout rompre, on attendait avec impatience la réaction de l'autre en face. Oui, c'était comme dans un livre. Comme dans un conte. Dans un roman, on riait avec le héros, on pleurait avec lui, on partageait ses sentiments. On vivait l'aventure avec autant d'intensité que si c'était nous-même qui nous tenions à sa place. Même après avoir parcouru plusieurs fois de suite ces pages, on ne se lassait pas de lire, et de relire. On savait ce qui arriverait. On savait quelle serait la réponse de l'autre. Mais on recommençait, encore et encore, car ce genre d'instant était intemporel. Digne d'un conte de fées. Mais cela ne se passa pas comme dans un conte de fées. Pas de Happy End. L'expression du garçon, du si beau garçon qui hantait les rêves de la belle, ne changea en aucun point. Son visage n'exprimait rien. La jeune fille retint son souffle, dans l'attente de sa réponse. Il ferma les yeux et ses lèvres qui avaient l'air si douces s'entrouvrirent pour laisser s'échapper un long soupir laconique. Il passa une main aux doigts longs et fins dans ses cheveux désordonnés comme pour les recoiffer. Et il parla. D'une voix basse et profonde, envoûtante. Presque dans un murmure. Comme une toile d'araignée scintillant de mille feux sous un soleil d'été. Et elle, elle était la naïve mouche qui s'était prise dans cette diaphane beauté.

      « Pas moi. »

    Il ne l'aimait pas. Elle n'était rien pour lui. Elle n'existait pas à ses yeux. Elle n'avait aucune valeur. Elle était une femelle qui avait succombé à son charme. Comme tant d'autres avant elle. Et comme tant d'autres avant elle, il l'avait repoussée. Les yeux de la jeune fille s'étaient écarquillés. Pas moi... Moi, je ne t'aime pas... Ces mots résonnaient dans son esprit étrangement vide, se perdant dans un écho lugubre. Puis, d'autres paroles. Froides comme la glace. Coupantes comme la lame d'un couteau. Des paroles qui la ramenèrent à la dure réalité. Terminus, tout le monde descend. C'est la fin du rêve. Il est temps de grandir.

      « Barre-toi, tu me gênes. »

    Il avait toujours le mot en trop. Il avait comme ce besoin d'agiter le couteau dans la plaie. A moins qu'il ne fasse même pas exprès. La jeune fille, dans sa jupe un peu trop courte de collégienne, esquissa un pas en arrière de ses jambes tremblantes. Il était son premier amour. Et son premier amour lui avait brisé le cœur. Pourrait-elle à nouveau tomber amoureuse d'un autre ? Un autre que cet Adonis au visage de marbre comparable à celui des fières statues grecques ? Ou soupirerait-elle éternellement auprès de ce garçon qui venait de la repousser ? Des milliers d'émotions se bousculaient pour entrer dans sa tête. Les larmes lui montèrent aux yeux et brouillèrent sa vision. L'une d'entre elles déborda et coula doucement sur sa blanche peau, minuscule diamant liquide roulant telle une perle sur un satin embrasé. Ce fut la première goutte d'une pluie chaude et salée. Éclatant en sanglots, elle tourna le dos à son amour déçu et s'enfuit en courant, ses mains cachant son visage torturé par sa douleur et sa tristesse.

      « Ca te plait tant que ça de briser le cœur de toutes les colombes du village ? »

    Akira ne bougea pas d'un pouce lorsqu'une fillette accourut à sa hauteur, la mine boudeuse. Elle lui arrivait à peine à l'épaule, et pourtant elle dégageait une certaine maturité. Excédée, elle ferma ses grands yeux bruns et secoua de gauche à droite sa tête au front éclairé, faisant virevolter les mèches de sa longue chevelure ébène.

      « Karin est une de mes amies. Elle est très jolie et cuisine à merveille. Pourquoi lui as-tu planté un râteau ? » continua-t-elle sans qu'il n'ait rien dit.

    Enfonçant ses mains dans les poches de son pantalon, il renifla pour signifier une négation et se mit en marche. La gamine le suivit, l'air tout aussi déterminé, dans l'attente de la réponse. Ils passaient au niveau d'un petit potager lorsqu'il rechigna enfin à parler.

      « Ces pauvres filles ne m'intéressent pas, Satsuki. Elles me font perdre mon temps, dit-il sur un ton qui faisait froid dans le dos.
      - Et dire que je pensais que tous les mecs de quinze ans ne pensaient qu'au cul et passaient leur journée à lire des pornos à l'insu de leur entourage, glissa-t-elle, l'air de rien. A ma connaissance, pratiquement tous les 'mâles' du village ont une copine.
      - Je ne suis pas du village.
      - J'avoue... T'as squatté chez nous parce que mamie t'a trouvé crevé de faim à l'entrée du village. T'as de la chance qu'elle soit aussi gentille. » le provoqua-t-elle.

    Devant l'absence de réaction d'Akira, elle vit rouge. Elle lui fit une horrible grimace en tirant la langue.

      « Beuh ! Sale puceau !
      - Tu ne devrais dire ce genre de mot, ta grand-mère ne serait pas très contente. Où est-ce qu'une gamine comme toi a-t-elle appris un mot pareil ? répliqua-t-il sans se départir de son calme.
      - Je ne suis pas une gamine !! On n'a que deux ans d'écart. Vieux croûton, tiens... »

    Arrêtant sa marche, il se tourna vers elle et la dévisagea longuement sans rien dire. Satsuki eut alors une énième occasion de remarquer son surprenant regard d'acier. Ces deux prunelles la fixaient avec intensité, si bien qu'elle se sentit mal à l'aise sous le feu de son regard.

      « On ferait bien de rentrer. » finit-il par dire.

    Le village dans lequel Akira avait atterri était l'un de ces patelins pas forcément très modernes. Tous les habitants se connaissaient tellement l'endroit était petit. C'était le genre de coin où les jeunes s'ennuyaient et rêvaient de nouveautés - comme un nouveau arrivant à l'exemple d'Akira. Les maisons étaient faites à l'ancienne. Celle de Satsuki et de sa grand-mère n'y faisait pas exception. Tout en bois et en plâtre, elle était surélevée par de petits tronçons d'une trentaine de centimètres de haut qui faisaient office de pilotis, empêchant la vermine d'y accéder. Après avoir traversé une étroite terrasse semblable aux pontons des ports, on accédait à la porte d'entrée : un volet coulissant en fines lattes et en papier de riz. Sans serrure, évidemment. Chacun faisait confiance au voisin. L'intérieur était fort simple, mais on ressentait la certaine coquetterie de la grand-mère de Satsuki. La maison était faite sur deux étages, celui du dessus étant exclusivement aux chambres. Derrière le bâtiment, il y avait un jardin semblable à ceux des temps anciens : un carré d'herbe verdoyant avec une mare peuplée de carpes koï surmontée d'un petit pont en demi-cercle. Dans un coin avait été aménagé un espace pavé de carrelage et protégé de cloisons, avec de l'eau courante, pour se laver dehors aux beaux jours. Malgré le bien-être immédiat que l'on ressentait lorsqu'on avait un chez soi en entrant ici même si c'était la première fois qu'on y pénétrait, ce fut une maison déserte qu'Akira et Satsuki trouvèrent.

      « Où est mamie ? » demanda la jeune fille.

    Un mot griffonné à la hâte et retenu sur la table de la salle à manger par une salière lui donna la réponse : Akira, Satsuki. Suis partie chez un ami. Reviendrai demain matin. Dîner dans le micro-ondes.PS: Akira, occupe-toi bien de Satsuki. Elle doit se laver ce soir. En avisant le message et son plus que gênant post-scriptum, l'intéressée rougit violemment et, les joues en feu, saisit le bout de papier pour le froisser puis le jeta vers la poubelle. Mais Akira, qui venait juste de rentrer dans la pièce, rattrape le projectile en plein vol et le déplia. Lorsqu'il leva ses yeux gris vers Satsuki, il ne souriait pas mais semblait sur le point de le faire.

      « C'est l'heure du bain.
      - P... Pas question ! Et elle s'empourpra de plus belle. Je peux me laver toute seule !!
      - Fais pas ta timide. »

    Et, à force de persévérance, il réussit à obtenir d'elle qu'elle se mette en serviette dans la salle de bain en plein air... une heure plus tard. La nuit était tombée, et les étoiles scintillaient dans le ciel noir d'encre, indifférentes à la douce lueur de leurs pâles rivales, les lanternes en papier du village. Assis sur un tabouret en plastique, la frêle silhouette de Satsuki solidement calée entre les jambes d'Akira. Celui-ci shampouinait ses longs cheveux noirs avec application. Il avait enlevé son tee-shirt pour ne pas le mouiller et exposait ainsi aux vapeurs des eaux sa fine musculature.

      « Mate pas, hein... marmonna-t-elle en détournant le regard, le rouge aux oreilles. Sale pervers.
      - C'est pas toi qui me traitais de puceau il y a une heure ? railla-t-il. De toute façon, t'as rien à cacher.
      - Espèce de... »

    Pour couper court à l'océan d'insultes qu'elle allait lancer pour sa pomme, il lui versa une bassine d'eau bouillante sur la tête pour rincer ses cheveux. A moitié noyée sous le déluge, elle crachota.

      « Mais t'es cinglé !! s'étrangla-t-elle en toussant encore. C'est quoi, ton problème ?! T'as failli me tuer !
      - Tu sais, t'as pas à avoir honte, dit-il comme s'il ne l'avait pas entendue. Quand j'étais plus jeune, déjà, j'aidais ma petite sœur au bain. Je sais à quoi ressemble une fille. »

    Surprise, Satsuki se tut : c'était la première fois qu'Akira faisait allusion a cela. Lui parlait de sa famille. De ses origines. Elle se souvenait d'un épisode qui l'avait marquée, les premiers jours où sa grand-mère avait hébergée le jeune candide. C'était le grand frère de Karin qui le lui avait rapporté. Assis l'un à côté de l'autre en salle de cours, il avait été interrogé par un professeur à propos d'une question dont il ne connaissait pas la réponse. A son grand étonnement, Akira la lui avait murmurée de façon à ce que seul lui pût l'entendre. Ce soufflage avait duré à peu près une semaine, avant qu'il ne lui glisse une drôle de réponse. Malgré sa suspicion, il parla sans hésiter et se fit ridiculiser devant toute la classe. La réponse était fausse. En sortant du lycée, lorsqu'il lui avait demandé des explications, il lui avait tout simplement répondu : Tu avais un doute, mais tu ne t'es pas écouté. Ne fais confiance à personne. Pas très rassurant. Du style : 'fallait pas m'écouter, mon gars. Maintenant, j'ai autre chose à faire, casse-toi tu me gênes. En gros, Akira n'était pas du genre à se confier.

      « Parle-moi de toi » osa-t-elle timidement.

    Le garçon posa la bassine et resta longtemps silencieux avant de répondre à ses attentes.

    [Pas finiw]
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